Témoignage de Marie-Claude Treilhou, réalisatrice
Un premier film, pour lui comme pour moi, qui ne savais rien, avec la peur au ventre à en crever, la décomposition panique, et lui si frêle qui tenait hors de l’eau, avec la patience des anges, et cette foi du charbonnier qui a sauvé "Simone Barbès" du naufrage. Même si nos chemins se sont séparés par la suite, avec des options radicalement différentes en matière cinématographique, ce sont des choses qu’on n’oublie pas.
Tout récemment, il revenait en France en coup de vent, voyait "Un petit cas de conscience", disait ne pas comprendre (…)