A Brigitte Barbier
Comment finir de rédiger cette Lettre de mai sans avoir une pensée pour toi, chère Brigitte, qui a su pendant des années la faire vivre avec tant de légèreté – cette marque de ta plume –, et sans douter un seul instant que Martin, ton amour de fils, malgré le poids de sa cruelle absence, sera pour longtemps ton soleil, illuminant ainsi ces fausses teintes qui trop souvent assombrissent nos vies.