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En réponse à :

Gilles Galerne, sourire, joie de vivre et flegme de "marin"
Par Richard Andry, AFC

La première fois que j’ai rencontré Gilles Galerne, c’était à Los Angeles au début des années 1980. J’avais fait le rappel de tous ceux que je connaissais là-bas pour avoir un coup de main pour un tournage fauché. C’était Pierre Andrieux, qui venait de s’installer là-bas qui m’avait donné ses coordonnées.
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