Dames Blanches

Laboratoires - Postproduction

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Articles (30)

La mélancolie bleue du Gujarat, filmée en Zeiss CP.3

Optiques

En compétition dans la sélection Documentary Shorts à Camerimage cette année, Testimony of Ana a pour personnage principal une dame âgée vivant dans une région rurale de l’État du Gujarat, sur la côte nord-ouest de la péninsule indienne. Peu à peu, au travers de sa parole, de ses prières et d’aperçus de son quotidien, le spectateur comprend le cauchemar qu’elle a traversé il y a quelques années, quand elle fut la proie d’une chasse aux sorcières. Filmé durant la mousson avec une Canon C300, une série de cinq focales Zeiss CP.3 et en (rare) lumière naturelle, le film dépeint également une campagne paisible, d’un vert et d’un bleu profonds, à la fois fertile et menacée par la corruption des hommes qui maltraitèrent Ana.

Exposition Vivian Maier, au musée du Luxembourg

Expositions et Musées

Organisée par la Rmn - Grand Palais et diChroma photography, en collaboration avec la Collection John Maloof, Chicago et la Howard Greenberg Gallery, NY., l’exposition Vivian Maier donne à voir une œuvre aux thèmes multiples choisis pour raconter son temps. Les autoportraits, scènes de rue, portraits, films, planches-contacts et tirages modernes ou d’époque présentés jouent avec les ombres, les reflets, les miroirs, mettant en valeur le regard de la photographe.

Interview with gaffer Jim Plannette

Les Entretiens AFC

In a career spanning over five decades, gaffer Jim Plannette has participated in crafting the lighting of such iconic films as Young Frankenstein (1974), E.T. (1982), The Fisher King (1991), and Magnolia (1999). Apart from collaborating multiple times with influential cinematographers like John A. Alonzo, Sven Nykvist, László Kovács, and John Toll, Plannette has been a key creative partner to Steven Soderbergh ever since the director began serving as his own DP, from 2000’s Traffic up to his latest movie, KIMI. Fresh from wrapping Lisa Azuelos’s I Love America, shot by Léo Hinstin, AFC, the 81-year-old gaffer reflects here on his cinematic journey and the technological advances that have accompanied it. (YT)

Entretien avec le chef électricien Jim Plannette

Les Entretiens AFC

Au cours d’une carrière longue de plus de cinquante ans, le chef électricien Jim Plannette a participé à la conception de la lumière de films aussi emblématiques que Frankenstein Junior (1974), E.T. (1982), Fisher King : Le Roi pêcheur (1991) et Magnolia (1999). En plus d’avoir collaboré à plusieurs reprises avec des directeurs de la photographie prestigieux tels que John A. Alonzo, Sven Nykvist, László Kovács et John Toll, Plannette est un partenaire créatif clé du réalisateur Steven Soderbergh depuis que celui-ci signe sa propre image, de Traffic (2000) jusqu’à son film le plus récent, KIMI. Ayant tout juste terminé le tournage d’I Love America, de Lisa Azuelos, photographié par Léo Hinstin, AFC, le chef électricien de 81 ans revient ici sur son parcours cinématographique et les avancées techniques qui l’ont accompagné. (YT)

"Enfin le cinéma ! Arts, images et spectacles en France (1833-1907)"
Exposition au musée d’Orsay

Expositions et Musées

Organisée par le musée d’Orsay et le musée de l’Orangerie, au côté du Los Angeles County Museum of Art, l’exposition "Enfin le cinéma ! Arts, images et spectacles en France 1833-1907", présentée du 28 septembre 2021 au 16 janvier 2022, est l’occasion de rappeler, grâce à la réunion de quelque 400 œuvres, que le cinéma est la suite naturelle du cinématographe des frères Lumière, dont les "photographies animées" sont le fruit d’une succession de dispositifs visuels et d’attractions, et que les premiers films sont les héritiers de multiples pratiques, artistiques ou scientifiques, érudites ou populaires.

Les 70 ans des "Cahiers du cinéma"

Livres et revues

Pour le 70e anniversaire des Cahiers du cinéma et dans son numéro d’avril 2021, la revue offre un parcours dans le temps avec "70 films, 70 ans", une liste établie par Marcos Uzal, rédacteur en chef. Et propose, entre autres articles figurant au sommaire*, un dialogue avec Jim Jarmush, un état des lieux de cinéastes au travail, un panorama de la critique parlée – Serge Daney, Jean Douchet, Jean Narboni, Caroline Champetier, AFC – ainsi qu’une carte blanche donnée à Bertrand Mandico pour réaliser la couverture de ce numéro 775.

Exposition "Paris 1910-1937 : promenades dans les collections Albert-Kahn"

Expositions et Musées

Noyés, de nos jours, dans un océan d’images, de cinéma ou non, aux couleurs éclatantes aussi bien que les plus naturelles possible, voir ou revoir, encore et encore, des autochromes Lumière demeure l’un des plaisirs dont nos yeux ne devraient, sous aucun prétexte, se priver. C’est le cas, actuellement, avec l’exposition "Paris 1910-1937 : promenades dans les collections Albert-Kahn", proposée, jusqu’au 11 janvier 2021, par la Cité de l’architecture et du patrimoine. Une préhistoire qui, s’ils s’aventuraient, fécule de pomme de terre aidant, à troquer quelques pixels contre des grains de poésie, devrait inspirer bon nombre des plus jeunes d’entre nous...

Exposition "Nuits électriques", au MuMa du Havre

Expositions et Musées

Avec l’apparition de l’éclairage artificiel, le 19e siècle voit le paysage nocturne évoluer de manière radicale, la nuit s’illuminant progressivement en se parant d’ambiances variées : jeux d’ombres et de lumières, clair-obscur, contre-jour, premières publicités éclairées au néon… Les arts - peinture, gravure, photographie - ayant été fortement marqués par ces métamorphoses nocturnes, le MuMa du Havre, avec l’exposition Nuits électriques, propose d’explorer, du 3 juillet au 1er novembre 2020, cette question de la perception de l’éclairage artificiel urbain par les artistes de la seconde moitié du 19e siècle jusqu’à la veille de la Première Guerre mondiale.

L’écran d’épingles Alexeïeff / Parker

Lire, voir, entendre

En 1933, Alexandre Alexeïeff et Claire Parker inventent, pour réaliser leur film Une nuit sur le mont Chauve, une technique d’animation qui fascine le public depuis près de 90 ans : l’écran d’épingles. Le principe de l’écran d’épingles est une trame de pointes traversant une surface blanche, qui, éclairées obliquement, donnent naissance à autant d’ombres portées plus ou moins longues selon la saillie des épingles sur la surface blanche.

Films (1)