Le jury de La semaine de la Critique a décerné son prix de la sélection 2006.
Le grand prix revient au film Les Amants maléfiques d’ Emmanuel Bourdieu, avec Malik Zidi, Alexandre Steiger, Natacha Régnier, Jacques Bonnaffé, Dominique Blanc et photographié par notre confrère Yorick Le saux, .
Le jury était présidé cette année par le réalisateur Gaspar Noé.
A l’heure du bilan de l’année 2018 : plusieurs participations à des longs métrages dont notamment Climax, de Gaspar Noé, Nicky Larson, de Philippe Lacheau, All Inclusive, de Fabien Onteniente, La Vie scolaire, de Grand Corps Malade et Mehdi Idir... Autant de films pour lesquels nous avons aussi bien utilisé la petite configuration Inspire 2 Plus caméra X 7, que la désormais classique Arri Alexa Mini, souvent avec le zoom polyvalent Angénieux Optimo 16-42 mm.
Filmed in two weeks "like doing a movie among friends", the film Climax is faithful to the themes and style of Gaspar Noé (sex, drugs and a descent into hell). Mixing improvisation and extremely precise staging (like the choreography that opens the film), Benoît Debie, SBC, explains how he approached this shoot full of energy and things a little crazy ... (FR)
Tourné en deux semaines "comme un film de potes", ce Climax est fidèle aux thèmes et au style de Gaspar Noé (sexe, drogue et descente aux enfers). Mélangeant improvisation et travail extrêmement répété sur le plateau (comme la longue chorégraphie qui ouvre le film), Benoît Debie, SBC, nous explique comment il a abordé ce tournage plein d’énergie et de choses un peu dingues... (FR)
Belgian cinematographer Benoît Debie, SBC, recently worked with Wim Wenders on Every Thing Will Be Fine and with Ryan Gosling on Lost River. Now a fixture in Gaspar Noé’s world after having filmed Irreversible and Enter the Void, Benoît Debie is once again working with the director on Love, a film that has sparked lots of discussion on the “Croisette” at Cannes. This 3D sexual melodrama tells the story of a torrid love affair that contains all sorts of promises, games, and excesses, was selected for the 68th Cannes Film Festival in the Midnight Screening.
Le directeur de la photographie belge Benoît Debie, SBC, a récemment collaboré avec Wim Wenders pour Every Thing Will Be Fine et Ryan Gosling pour Lost River. Devenu complice de l’univers de Gaspar Noé après avoir filmé Irréversible et Enter the Void, Benoît Debie accompagne de nouveau le réalisateur qui, avec Love, fait parler de lui sur la Croisette. Ce « mélodrame sexuel en 3D, évoquant une passion amoureuse contenant toutes sortes de promesses, de jeux et d’excès », est sélectionné au 68e Festival de Cannes en Séance de minuit. (BB)
A fan of the universe of Gaspar Noë, star Ryan Gosling has availed himself of the services of Benoît Debie, SBC, to create the visuals on his first, strange feature-length film that oscillates between social fable and fantasy story. "Lost River" is one of the most anticipated films in the “Un certain regard” selection this year at the 67th Cannes Film Festival. (FR)
Fan de l’univers de Gaspar Noë, la star Ryan Gosling s’adjoint les services de Benoît Debie, SBC, pour mettre en images un premier long métrage étrange qui oscille entre la fable sociale et le récit fantastique. Lost River est l’un des films les plus attendus de cette 67e sélection cannoise à Un certain regard.
Parmi les vingt longs métrages sélectionnés cette année pour la compétition officielle, on compte quatre films français dont deux photographiés par des membres de l’AFC : - Un prophète de Jacques Audiard, photographié par Stéphane Fontaine, AFC - Les Herbes folles d’Alain Resnais, photographié par Eric Gautier, AFC - Soudain le vide de Gaspar Noé, photographié par Benoît Debie - A l’origine de Xavier Giannoli, photographié par Glynn Speeckaert Parmi les films étrangers, deux d’entre eux ont été photographiés par des membres de l’AFC : - Taking Woodstock d’Ang Lee, photographié par Eric Gautier, AFC - Map of the Sound of Tokyo d’Isabel Coixet, photographié par Jean-Claude Larrieu, AFC
Comme chaque année, un remake du film de Louis Lumière Sortie d’usine (mai 1895) est tourné par le Prix Lumière, en l’occurrence en 2022 le cinéaste Tim Burton. Gilles Porte, AFC, avec à son côté Jean-Marie Dreujou, AFC, était à l’œuvre pour filmer cet évènement. Tous deux rendent compte ici de ce moment cinématographique singulier.
Sous le titre quasi biblique "Que la lumière soit !", la revue Bref, éditée par L’Agence du court métrage, publie, dans son numéro 127 – sous-titré "De l’art d’éclairer le réel" –, un dossier donnant la parole à six directrices et directeurs de la photographie de la génération montante, dont le court métrage est le vivier. Des propos de Marine Atlan, Noé Bach, Fiona Braillon, SBC, Paul Guilhaume, AFC, Émilie Noblet et Martin Rit, voici quelques extraits...
Describing a young couple facing an existential choice, Plus que jamais (More Than Ever) is also a journey towards accepting another’s choice, starring Vicky Krieps and Gaspard Ulliel . Yves Cape, AFC, was the DoP for this film shot in France, Luxembourg and Norway. He shares what it was like to make this film, at once hard and bright. (FR)
A l’heure du bilan de l’année 2018 : plusieurs participations à des longs métrages dont notamment Climax, de Gaspar Noé, Nicky Larson, de Philippe Lacheau, All Inclusive, de Fabien Onteniente, La Vie scolaire, de Grand Corps Malade et Mehdi Idir... Autant de films pour lesquels nous avons aussi bien utilisé la petite configuration Inspire 2 Plus caméra X 7, que la désormais classique Arri Alexa Mini, souvent avec le zoom polyvalent Angénieux Optimo 16-42 mm.
Filmed in two weeks "like doing a movie among friends", the film Climax is faithful to the themes and style of Gaspar Noé (sex, drugs and a descent into hell). Mixing improvisation and extremely precise staging (like the choreography that opens the film), Benoît Debie, SBC, explains how he approached this shoot full of energy and things a little crazy ... (FR)
Tourné en deux semaines "comme un film de potes", ce Climax est fidèle aux thèmes et au style de Gaspar Noé (sexe, drogue et descente aux enfers). Mélangeant improvisation et travail extrêmement répété sur le plateau (comme la longue chorégraphie qui ouvre le film), Benoît Debie, SBC, nous explique comment il a abordé ce tournage plein d’énergie et de choses un peu dingues... (FR)
Belgian cinematographer Benoît Debie, SBC, recently worked with Wim Wenders on Every Thing Will Be Fine and with Ryan Gosling on Lost River. Now a fixture in Gaspar Noé’s world after having filmed Irreversible and Enter the Void, Benoît Debie is once again working with the director on Love, a film that has sparked lots of discussion on the “Croisette” at Cannes. This 3D sexual melodrama tells the story of a torrid love affair that contains all sorts of promises, games, and excesses, was selected for the 68th Cannes Film Festival in the Midnight Screening.
Le directeur de la photographie belge Benoît Debie, SBC, a récemment collaboré avec Wim Wenders pour Every Thing Will Be Fine et Ryan Gosling pour Lost River. Devenu complice de l’univers de Gaspar Noé après avoir filmé Irréversible et Enter the Void, Benoît Debie accompagne de nouveau le réalisateur qui, avec Love, fait parler de lui sur la Croisette. Ce « mélodrame sexuel en 3D, évoquant une passion amoureuse contenant toutes sortes de promesses, de jeux et d’excès », est sélectionné au 68e Festival de Cannes en Séance de minuit. (BB)
A fan of the universe of Gaspar Noë, star Ryan Gosling has availed himself of the services of Benoît Debie, SBC, to create the visuals on his first, strange feature-length film that oscillates between social fable and fantasy story. "Lost River" is one of the most anticipated films in the “Un certain regard” selection this year at the 67th Cannes Film Festival. (FR)
Fan de l’univers de Gaspar Noë, la star Ryan Gosling s’adjoint les services de Benoît Debie, SBC, pour mettre en images un premier long métrage étrange qui oscille entre la fable sociale et le récit fantastique. Lost River est l’un des films les plus attendus de cette 67e sélection cannoise à Un certain regard.
Parmi les vingt longs métrages sélectionnés cette année pour la compétition officielle, on compte quatre films français dont deux photographiés par des membres de l’AFC : - Un prophète de Jacques Audiard, photographié par Stéphane Fontaine, AFC - Les Herbes folles d’Alain Resnais, photographié par Eric Gautier, AFC - Soudain le vide de Gaspar Noé, photographié par Benoît Debie - A l’origine de Xavier Giannoli, photographié par Glynn Speeckaert Parmi les films étrangers, deux d’entre eux ont été photographiés par des membres de l’AFC : - Taking Woodstock d’Ang Lee, photographié par Eric Gautier, AFC - Map of the Sound of Tokyo d’Isabel Coixet, photographié par Jean-Claude Larrieu, AFC