Hélène Fillières

Interprétation

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Articles (1)

Stephan Massis, AFC, parle de deux tournages en Zeiss Supreme Radiance

Optiques

Série noire filmée à deux caméras mobiles en Forêt-Noire d’un côté, drame caniculaire provençal cadré au cordeau sur tête à manivelles de l’autre, la série en 4x52 mn "Les Disparus de la Forêt-Noire" (lauréate du Grand prix du Festival Polar de Cognac), d’Ivan Fegyvères, et le téléfilm Une confession, réalisé par Hélène Fillières, pourraient difficilement être plus éloignés l’un de l’autre en termes visuels – sans parler de la température ambiante. Ces différences n’ont pas empêché leur directeur de la photographie commun, Stephan Massis, AFC, de choisir les mêmes Zeiss Supreme Radiance conjugués à une Sony Venice pour les filmer. Devant les images projetées sur le grand écran d’Amazing Digital en compagnie de Fred Savoir, étalonneur sur les deux projets, il nous a expliqué comment cette expérimentation a porté ses fruits.

Articles (30)

Emmanuelle Collinot talks about her choices for Sophie Fillières’s "This Life of Mine"
By Brigitte Barbier

Les entretiens au Festival de Cannes 2024

Sophie Fillières’ filming of Agnès Jaoui, who plays Barberie Bichette in Ma vie, ma gueule (This Life of Mine), tells the story of a woman in her mid-fifties. Her loyal collaborator, Emmanuelle Collinot, shot the director’s last film before she died just a few weeks after shooting ended. The pitch of the film "how to deal with oneself, with death, with life in short..." particularly resonates for Ma vie, ma gueule, which opens the 2024 Quinzaine des Cinéastes. (BB)

Emmanuelle Collinot parle de ses choix à l’image pour "Ma vie, ma gueule", de Sophie Fillières
Par Brigitte Barbier

Les entretiens au Festival de Cannes 2024

Raconter un moment de la vie d’une femme passé la cinquantaine, Sophie Fillières l’a fait avec humour et délicatesse en filmant Agnès Jaoui qui incarne Barberie Bichette dans Ma vie, ma gueule. C’est sa fidèle collaboratrice, Emmanuelle Collinot, qui signe l’image du dernier film de la réalisatrice, décédée quelques semaines après la fin du tournage. Le pitch du film "comment faire avec soi-même, avec la mort, avec la vie en somme…" résonne particulièrement pour Ma vie, ma gueule, qui ouvre la Quinzaine des Cinéastes 2024. (BB)

Hélène Louvart, AFC, revient sur le tournage de "Motel Destino", de Karim Aïnouz
Par Brigitte Barbier, pour l’AFC

Les entretiens au Festival de Cannes 2024

Après un détour par l’Angleterre pour tourner Firebrand / Le Jeu de la Reine, en sélection officielle l’an dernier sur la Croisette, Karim Aïnouz revient dans son pays pour y réaliser Motel Destino, un thriller érotique haut en couleur tourné tout près de sa ville natale, Fortaleza, au Brésil. C’est pour une troisième collaboration que la cheffe opératrice Hélène Louvart, AFC, s’engage au côté du réalisateur brésilien pour (re)créer l’univers visuel d’un lieu insolite et rendre sensible les relations humaines qui s’y passent, faite d’humour et de tensions. Pour la deuxième année consécutive, Karim Aïnouz est sélectionné en Compétition officielle pour cette 77e édition du Festival de Cannes. (BB)

Où la directrice de la photographie Hélène Louvart, AFC, parle de son travail sur "Xenia", de Panos H. Koutras

Les entretiens au Festival de Cannes

Xenia, de Panos Koutras. Une rencontre avec Panos l’hiver dernier, un projet de film coproduit par la France, la Grèce et la Belgique. J’avais pu voir son précédent film Strella, et ce film avait été pour moi une forme de révélation, autant pour l’image, que pour ses partis pris et sa liberté d’expression. Le scénario de Xenia était totalement construit, précis, et Panos est un réalisateur qui cherche, travaille et finit par trouver ce qu’il aime.

Hélène Louvart, AFC, discusses her collaborative work with Léonor Séraille on “Un petit frère”

Les entretiens au Festival de Cannes

After winning the Camera d’or in 2017 for her first film Jeune femme, Léonor Séraille returns to the Croisette in Official Competition with Un petit frère. The story spans twenty years, we first accompany the mother, Rose, a young Ivorian woman who arrives in Paris with her two children in 1989. Thanks to ellipses, the director then guides us to one of the sons, Jean, then to the youngest, Ernest. Three eras, three points of view. Director of photography Hélène Louvart , AFC, discusses about her collaborative work with Léonor. (BB)

Où la directrice de la photographie Hélène Louvart, AFC, parle de son travail sur "Le Meraviglie (Les Merveilles)", d’Alice Rohrwacher

Les entretiens au Festival de Cannes

Nous avions déjà tourné avec Alice Rohrwacher Corpo celeste au sud de l’Italie il y a trois ans. En Super 16 mm, un film essentiellement tourné tout à l’épaule. Le film avait rencontré un grand succès – une sélection à la Quinzaine des réalisateurs, puis l’équivalent du César du meilleur premier film en Italie, ainsi que de nombreux prix dans différents festivals, et le prix du meilleur film européen, ce qui est déjà pas mal pour une premier film…

Softlights rétroéclaire une œuvre d’Hélène Delprat

Expositions et Musées

Une exposition présentant les œuvres d’Hélène Delprat se tient actuellement à La maison rouge, "I Dit It My Way". La société Softlights, membre associé de l’AFC, a réalisé un très grand caisson lumineux qui rétroéclaire l’une des œuvres de l’artiste, Tapisserie d’enfant.

Cinematographer Hélène Louvart, AFC, discusses her work on Karim Ainouz’ film “La Vie invisible”

Les entretiens au Festival de Cannes

Hélène Louvart, AFC, signed off on the image of La Vie invisible, a Brazilian film presented at Un Certain Regard 2019. A story of two sisters that takes place from the 1950s to the present time. She tells us about her working relationship with Karim Ainouz, the director, and about their shared ambition to dare to create striking visual universes, and about how they learned to modulate that ambition so as to avoid being above the story and the characters, visually speaking. (FR)

Articles (1)

Stephan Massis, AFC, parle de deux tournages en Zeiss Supreme Radiance

Optiques

Série noire filmée à deux caméras mobiles en Forêt-Noire d’un côté, drame caniculaire provençal cadré au cordeau sur tête à manivelles de l’autre, la série en 4x52 mn "Les Disparus de la Forêt-Noire" (lauréate du Grand prix du Festival Polar de Cognac), d’Ivan Fegyvères, et le téléfilm Une confession, réalisé par Hélène Fillières, pourraient difficilement être plus éloignés l’un de l’autre en termes visuels – sans parler de la température ambiante. Ces différences n’ont pas empêché leur directeur de la photographie commun, Stephan Massis, AFC, de choisir les mêmes Zeiss Supreme Radiance conjugués à une Sony Venice pour les filmer. Devant les images projetées sur le grand écran d’Amazing Digital en compagnie de Fred Savoir, étalonneur sur les deux projets, il nous a expliqué comment cette expérimentation a porté ses fruits.

Films (6)

Volontaire

de Hélène Fillières
Produit par Albertine Productions, Gaumont Production, France 2 Cinéma
Photographié par

Eric Dumont, AFC