François Nobécourt
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Meeting with Alfonso Cuarón about the series "Disclaimer", photographed by Emmanuel Lubezki, AMC, ASC, and Bruno Delbonnel, AFC, ASC "The weight of words, the impact of images" by François Reumont pour l’AFC
Camerimage 2024
To mark the grand release of his first series on the Apple platform, the multi-Oscar-winning Mexican filmmaker Alfonso Cuarón (Gravity, Roma, etc.) attended Camerimage to discuss his work and photographic choices with the audience. "Disclaimer" is a thriller in which a past event suddenly resurfaces, upending the very bourgeois life of the main protagonist (Cate Blanchett) and her family. Since its release in early November, the series has divided viewers and critics alike. Many argue that the two timelines explored by the filmmaker occasionally lack credibility and coherence, particularly with respect to the final resolution. Emmanuel Lubezki, AMC, ASC, and Bruno Delbonnel, AFC, ASC, shared the cinematography credits, each working on a specific part of the story. (FR)
Lennert Hillege, NSC, and director Sandhya Suri talk to the audience after the screening of "Santosh" "Probably male", by François Reumont
Les entretiens de Camerimage 2024
Co-produced by Haut et Court and directed by Franco-British-Indian filmmaker Sandhya Suri, the film Santosh is a poignant portrayal of women (much like the other Indian film of the summer, All We Imagine as Light, also directed by an Indian filmmaker and winner of the Grand Prix at Cannes). Set in a rural region of northern India (Uttar Pradesh), this debut feature revolves around a young woman, the widow of a police officer, who inherits her late husband’s job due to a peculiar local administrative policy. She faces her new colleagues and is soon confronted with the complex contradictions of Indian society. Sandhya Suri and her cinematographer Lennert Hillege, NSC, presented the film at Camerimage and answered audience questions. The film won the Golden Frog Award for Best First Feature Film. (FR)
Lennert Hillege, NSC, et la réalisatrice Sandhya Suri répondent au public après la projection de "Santosh" "Le mâle, probablement", par François Reumont
Les entretiens de Camerimage 2024
Coproduit par Haut et Court et réalisé par la Franco-Britannique et Indienne Sandhya Suri, le film Santosh est un très beau portrait de femmes (comme l’autre film venu d’Inde cet été All We Imagine as Light, réalisé également par une Indienne et lauréate du Grand prix cannois). Prenant pour décor une région très rurale du nord de l’Inde (l’Uttar Pradesh), ce premier film a pour protagoniste une jeune femme veuve de policier qui récupère le poste de son mari selon une des bizarreries de l’administration locale. Bientôt elle découvre ses nouveaux collègues et se retrouve confrontée à toutes les contradictions de la société indienne. Sandhya Suri et Lennert Hillege, NSC, son directeur de la photographie, sont venus tous les deux présenter le film à Camerimage, et ont répondu aux questions du public. Le film a remporté la Grenouille d’or du Meilleur premier film. (FR)
Lol Crawley, BSC, à propos de "The Brutalist", de Brady Corbet Par François Reumont pour l’AFC
Les entretiens de Camerimage 2024
Tout juste auréolé d’un Lion d’argent à la Mostra de Venise, le film de Brady Corbet vient continuer sa moisson de prix au festival Camerimage. Comme hors du temps des réseaux sociaux et et de l’instantanéité des images en ligne, The Brutalist peut être considéré comme un plaidoyer pour le retour au spectacle cinématographique en salle. Avec son ouverture, son prologue, son entracte et son épilogue, ces 3h30 de spectacle propulsent le spectateur à l’époque de Docteur Jivago ou du Parrain.
Lol Crawley, directeur de la photographie britannique, vient nous parler des risques qu’on peut prendre photographiquement sur un plateau, de la beauté narrative du plan-séquence, et de comment parvenir à filmer sur pellicule un film comme celui-là en seulement 33 jours... (FR)
Lol Crawley, directeur de la photographie britannique, vient nous parler des risques qu’on peut prendre photographiquement sur un plateau, de la beauté narrative du plan-séquence, et de comment parvenir à filmer sur pellicule un film comme celui-là en seulement 33 jours... (FR)
Frank van den Eeden, SBC, NSC, nous parle de son travail sur "Small Things Like These", de Tim Mielants Par François Reumont pour l’AFC
Les entretiens de Camerimage 2024
Avec Small Things Like These, le cinéaste belge Tim Mielants place son récit à la fin des années 1980, dans une Irlande populaire, donnant un nouveau point de vue sur l’affaire des Magdalene Sisters (adapté dans le passé par Peter Mullan, en 2002). On suit la vie d’un paisible père de six filles (la star irlandaise Cillian Murphy) dont les cicatrices du passé refont soudain surface quand il découvre une des jeunes filles pensionnaire du couvent. C’est le directeur de la photographie néerlandais Frank van den Eeden, SBC, NSC, qui met en image ce film d’époque en compétition pour la Grenouille d’or à Camerimage 2024. (FR)
Frank van den Eeden, SBC, NSC, talks about his work on ‘Small Things Like These’, by Tim Mielants By François Reumont for the AFC
Les entretiens de Camerimage 2024
With Small Things Like These, Belgian filmmaker Tim Mielants tells the story of the late 80s, in working-class Ireland, giving a new point of view on the Magdalene Sisters affair (adapted in the past from Peter Mullan in 2002). We follow the life of a peaceful father of six daughters (Irish star Cillian Murphy) whose scars from the past suddenly resurface when the discovery of one of the young girls staying at the convent. Dutch DoP Frank van den Eeden, SBC, NSC, lensed the film, which is in competition for the Golden frog of Camerimage 2024. (FR)
Stéphane Fontaine, AFC, looks back at his choices in filming Edward Berger’s ‘Conclave’. By François Reumont for the AFC
Les entretiens de Camerimage 2024
With Conclave, German filmmaker Edward Berger (All is calm on the Western Front, multiple Oscars winner including Best cinematography in 2023 for James Friend, BSC), radically change the universe and decide to adapt a novel which tells how the election of a new pope is held at the Vatican. Served by a dazzling cast (Ralph Fiennes, Stanley Tucci, Isabella Rossellini...), the film navigates between investigation, alcove secrets and political campaign between cardinals. It’s Stéphane Fontaine, AFC (The Beat My Heart Has Stopped, A Prophet, Jackie...) who is behind the camera this time. He comes to talk to us about this rebuilt Vatican at Cinecittà, about faces and how to film them and about red color, which regularly cross the image. Conclave is presented in European preview at Camerimage and competition for the Golden frog in the Main competition (FR)
Cinematographer Krzysztof Trojnar looks back at the cinematography of the "Baby Reindeer" series "Girl Meets Boy", by François Reumont for the AFC
Les entretiens de Camerimage 2024
"Baby Reindeer" was undoubtedly one of the year’s most striking pieces in terms of writing, acting, and audience impact. In just a few months, it quickly became one of Netflix’s flagship series, largely due to its creator Richard Gadd, who also stars as the lead. Gadd bravely brings to the screen an extremely grave and personal episode from his own life in an unprecedented manner. This series is groundbreaking in its audacity, proving that even the boldest projects, initially seeming far from mainstream, can captivate the public. Here we reflect on the making of this series with Krzysztof Trojnar, who was the cinematographer for the first four episodes, directed by Weronika Tofilska. (FR)
Le chef opérateur Krzysztof Trojnar revient sur la mise en images de la série "Baby Reindeer" "Girl Meets Boy", par François Reumont pour l’AFC
Les entretiens de Camerimage 2024
"Baby Reindeer" ("Mon petit renne") a certainement été l’un des chocs de l’année en termes d’écriture, d’interprétation et d’impact sur les spectateurs. Devenue l’une des séries phares de la plateforme Netflix en l’espace de quelques mois, elle repose essentiellement sur son créateur Richard Gadd, également interprète principal, qui ose de manière assez inédite à l’écran transposer un épisode extrêmement grave et privé de sa propre vie. Une série qui fait date dans l’histoire de la production, prouvant que même les projets les plus audacieux ou à première vue loin du courant "mainstream" peuvent déclencher l’engouement du public. Retour sur sa fabrication avec Krzysztof Trojnar, le directeur de la photographie des quatre premiers épisodes, réalisés par Weronika Tofilska. (FR)
Films (1)
Un homme d’Etat
de Pierre Courrège
Photographié par
Baptiste Magnien, AFC
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