Journée de la CST lors de la Semaine du Cinéma du Québec à Paris
par Jean-Noël FerragutLa CST a de bonnes raisons d’être satisfaite de la journée qu’elle a organisée dans le cadre de la Semaine du Cinéma du Québec à Paris le 29 novembre au Cinéma des Cinéastes. Se déroulant cette année dans la grande salle, les deux demi-journées consacrées à faire un nouveau point sur les techniques numériques ont attiré, dès potron-minet, un large public.
La matinée avait pour thème le tournage et la postproduction en 4K. Les premières images projetées présentaient un " making-off " du tournage du court métrage québécois Le Gant effectué simultanément avec deux caméras, l’une numérique 4K, l’Origin de Dalsa (voir plus de détails sous la rubrique technique) et l’autre 35 mm, une Arriflex 435. Ce document fort instructif, non content de nous montrer la mise en œuvre de ce matériel dans les conditions du tournage, fait la part belle aux commentaires des principaux utilisateurs de cette caméra numérique, posant, en y répondant ouvertement et sans langue de bois, quelques questions relatives aux préoccupations que soulève, aux yeux des opérateurs, l’avenir de leur métier.
En l’absence de Daniel Vincelette, directeur de la photo et instigateur du projet Le Gant, c’est René Villeneuve, directeur québécois de la postproduction, qui en a expliqué la genèse et les intentions, et a présenté la méthodologie de la chaîne numérique mise en œuvre pour son aboutissement. Il a tenu à rappeler le côté expérimental d’une aventure tentée pour la première fois, accepté en connaissance de cause par tous ses acteurs, utilisateurs comme prestataires, en particulier Dalsa, dont la caméra était un prototype, et les Laboratoires Eclair, qui avaient la lourde charge de la postproduction.
Comme il l’avait fait en octobre dernier lors d’une projection du Gant devant le public de l’Atelier numérique du Festival Nouveau Cinéma de Montréal, Philippe Soeiro, d’Eclair Numérique, le deuxième invité de la matinée, a présenté, d’une façon claire et concise, l’état des lieux de la postproduction numérique 4K, issue d’une captation 4K, tel que ce film a permis à Eclair de le dresser aujourd’hui. Il a envisagé également son avenir, aussi proche que le permettra, compte tenu du développement des technologies utilisées, la viabilité économique de la chaîne.
Lire, si ce n’est déjà fait, sous la rubrique technique," Petite mise en contexte " de Daniel Vincelette et " Le Gant, anatomie d’un futur en 4K ? " par Philippe Soeiro.
La matinée avait pour thème le tournage et la postproduction en 4K. Les premières images projetées présentaient un " making-off " du tournage du court métrage québécois Le Gant effectué simultanément avec deux caméras, l’une numérique 4K, l’Origin de Dalsa (voir plus de détails sous la rubrique technique) et l’autre 35 mm, une Arriflex 435. Ce document fort instructif, non content de nous montrer la mise en œuvre de ce matériel dans les conditions du tournage, fait la part belle aux commentaires des principaux utilisateurs de cette caméra numérique, posant, en y répondant ouvertement et sans langue de bois, quelques questions relatives aux préoccupations que soulève, aux yeux des opérateurs, l’avenir de leur métier.
En l’absence de Daniel Vincelette, directeur de la photo et instigateur du projet Le Gant, c’est René Villeneuve, directeur québécois de la postproduction, qui en a expliqué la genèse et les intentions, et a présenté la méthodologie de la chaîne numérique mise en œuvre pour son aboutissement. Il a tenu à rappeler le côté expérimental d’une aventure tentée pour la première fois, accepté en connaissance de cause par tous ses acteurs, utilisateurs comme prestataires, en particulier Dalsa, dont la caméra était un prototype, et les Laboratoires Eclair, qui avaient la lourde charge de la postproduction.
Comme il l’avait fait en octobre dernier lors d’une projection du Gant devant le public de l’Atelier numérique du Festival Nouveau Cinéma de Montréal, Philippe Soeiro, d’Eclair Numérique, le deuxième invité de la matinée, a présenté, d’une façon claire et concise, l’état des lieux de la postproduction numérique 4K, issue d’une captation 4K, tel que ce film a permis à Eclair de le dresser aujourd’hui. Il a envisagé également son avenir, aussi proche que le permettra, compte tenu du développement des technologies utilisées, la viabilité économique de la chaîne.
Lire, si ce n’est déjà fait, sous la rubrique technique," Petite mise en contexte " de Daniel Vincelette et " Le Gant, anatomie d’un futur en 4K ? " par Philippe Soeiro.