Pourquoi ouvrir un nouveau labo argentique aujourd’hui ?
Daniel Borenstein : Quand, il y a plus de trois ans, nous avons discuté avec Pierre Buffin et Jacques Bled de l’intérêt de la création de B-MAC, la photochimie a tout de suite été évoquée comme une évidence. Cela semblait obligatoire d’avoir des capacités de développement en interne à la fois pour des raisons d’indépendance mais aussi pour pouvoir avoir la maîtrise complète des travaux qui seraient effectués, pour pouvoir garantir un suivi technique et qualitatif adapté aux exigences de chaque projet, de chaque opérateur, de chaque réalisateur. Ce qui était en fait déjà leur façon d’opérer pour la publicité et les longs métrages.