Visite à IBC 2009
par Dominique BouilleretMalgré quelques emplacements vides, signe des temps difficiles, surtout côté cinéma comme le fait remarquer Yves Cape dans sa visite, une visite exhaustive nécessite plus que les deux jours que j’y ai consacrés.
En " mission " pour Glops, dont nous reparlerons, j’en profite pour donner mes impressions à propos de ce salon.
On y rencontre pas mal de monde venant de Paris et plusieurs partenaires de l’AFC qui sont des fidèles de IBC, mais aussi des nouveaux. Je vais en faire une liste qui ne sera peut être pas complète, et je m’en excuse. Si j’en oublie, alors, l’année prochaine il faudra mettre en place un carnet d’adresses spécial IBC de nos partenaires.
Maluna avec ses Lucioles et KGSD avec ses innovations étaient voisins dans cet immense Hall 11.
Eclalux, importateur de Filmgear, avait monté un stand imposant afin de montrer une gamme intéressante de projecteurs issus des ateliers coréens qui reprennent le meilleur de Arri et Kino mais qui les améliorent à sa façon.
Ballasts AC/DC pour certains Par et fluos, amélioration des charnières sur les boîtes fluos et grilles métal sont les principales avancées dues à nos amis coréens, plus une gamme complète de projecteurs à découvrir.
But, entre autre de notre visite, il faut noter l’arrivée des émetteurs récepteurs HD, celui de Transvidéo sera bientôt là, et proposé chez Glops, nous y voilà, et les spécifications techniques semblent satisfaisantes, même si des progrès restent à faire aux dires de certains et qu’une ergonomie sur le récepteur reste à trouver. Jacques Delacoux, fort de son Oscar, côtoyait sur ce salon Thalès Angénieux également lauréat des Oscars.
Cooke, magnifiquement présentés par Mr Steele himself pour Emit, avec en supplément non gratuit, je suppose, la bague de point éclairée en interne, la toute dernière série 5i.
K5600, présent également, avec eux aussi des nouveautés : découpe pour Par et spacelight pour son " 4 mille ".
Aaton, toujours un peu à l’écart, présentait son " imageur ", dernier né de la firme grenobloise.
Et puis, au fil des nombreux méandres, on remarque l’arrivée en masse de la 3D avec des écrans numériques de plus en plus nombreux, des " robocops " qui font penser qu’il faut faire l’école du cirque pour cadrer, et l’on découvre aussi que certains ont amélioré leurs temps au tour de manière significative. Voilà, fin de ma balade hollandaise. Trop rapide, trop superficielle, mais bon, c’est comme ça.