Sous le vent des Marquises

Il y a dans ce film trois sortes d’image :
- Celle du "film de Pierre" (prénom du réalisateur), l’essentiel du film, format 1,85, une LUT inspirée de la Kodak 5219, nombre limité de focales utilisées, la caméra bouge avec les acteurs, mais elle bouge beaucoup, un peu de grain, légère diffusion 5SFX ½ )
- Celle du "film d’Antoine" (nom du personnage du réalisateur), format 2,39, noir et blanc qui exploite toute la gamme possible des gris tout en gardant de vrais noirs et de vrais blancs, peu ou pas de grain, focales longues ou courtes, pratiquement pas de diffusion.
- Celle du "film de Lou" (ce que le personnage de Lou invente dans sa tête), format 1,50, comme un home movie, filmé avec un Sony Alpha 7SII tenu avec une poignée verticale en-dessous, diaphragme de 5,6 voire 8 ou 11, beaucoup de grain, une sorte de fantasme du film Super 8 par quelqu’un qui ne le connaîtrait pas.

Équipe

Première assistante caméra : Marine Delcourt
Deuxième assistante caméra : Julie Angelo
Troisième assistante caméra : Marie Merlant
Chef électricien : Dirk Van Rampelbergh
Chef machiniste : Léo Stritt
LUTs et étalonnage final : Gilles Granier pour Le Labo Paris
Étalonnage des rushes : Inès Sanchez pour Le Labo Paris

Technique

Matériel caméra : TSF Caméra (Sony Venice et série Zeiss Supreme)

synopsis

Quand Alain doit interpréter le rôle de Jacques Brel, son destin se mélange à celui de l’artiste. Cette rencontre va le rapprocher de sa fille et bouleverser sa vie.