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Articles (30)

Interview with Kadri Koop : "Pierre Angénieux Special Encouragement" 2024
"Koop de grâce", by François Reumont for the AFC

Les entretiens au Festival de Cannes 2024

The 2024 winner of the Pierre Angénieux Special Encouragement Award is of Estonian origin. She has been based in the USA for 12 years, spending time in China first, just after finishing high school. This was her first experience living abroad, where she studied, learned a bit of the language and shot her first documentary films. Kadri Koop is a curious young woman, with varied experiences around the world, now working between Europe and Hollywood, where she resides and tends to a beautiful vegetable garden under the Californian sun.
She’s here at Cannes to talk to us about images, faces and zoom lenses ! (FR)

Entretien avec Kadri Koop, "Encouragement Spécial Pierre Angénieux" 2024
"Koop de grâce", par François Reumont pour l’AFC

Les entretiens au Festival de Cannes 2024

La lauréate 2024 du prix Encouragement Spécial Pierre Angénieux est d’origine estonienne, basée depuis déjà douze ans aux USA, après être passée juste après son bac par la Chine. Une première expatriation où elle a étudié, appris un peu la langue et tourné ses premiers films documentaires. Kadri Koop est donc une jeune femme curieuse de tout qui a multiplié les expériences à travers la planète et qui travaille désormais entre l’Europe et Hollywood. Lieu où elle réside et entretient un très beau potager sous le soleil californien. Elle est venue à Cannes nous parler d’images, de visages et de zooms ! (FR)

Jean-Louis Vialard, AFC, revient sur le tournage de "Orchid Island", de Laurent Grasso
"En suspension", par François Reumont pour l’AFC

Entretiens avec des directeurs de la photographie

Jean-Louis Vialard, AFC, partage depuis plus de trente ans son temps entre les tournages de fiction et les collaborations avec le monde de l’art contemporain. Parmi les artistes avec qui il réalise des films destinés aux musées et aux galeries internationales, on trouve Pierre Huygue, Philippe Pareno ou Dominique Gonzalez-Foerster. C’est avec Laurent Grasso qu’il est parti récemment à Taïwan filmer les images de Orchid Island, une installation artistique exposée depuis le 14 octobre à la Galerie Perrotin (impasse Saint-Claude, dans le 3e arrondissement). Il nous explique sa relation particulière avec cet artiste, son approche de la mise en images sur des films d’art et son rapport à la création. (FR)

Simon Beaufils speaks about image and the directing of "Anatomy of a Fall", de Justine Triet
"Sun, snow, and a criminal court", by François Reumont

Les entretiens au Festival de Cannes 2023

Justine Triet’s (Sybil, Victoria) new film is multidimensional, layer after layer being progressively peeled away as the film progresses. Starting as a family drama involving a Franco-German couple and their visually impaired son, the film evolves around a series of characters, in the context of a high-profile criminal trial. Simon Beaufils created the images for this closed doors thriller, with 2.5 hours divided between a high mountain chalet and a courtroom. Anatomy of a Fall (Anatomie d’une chute) was awarded the 76th Palme d’or. (FR)

Laurent Brunet, AFC, talks about his work with Michel Gondry on "The Book of solutions"
"The Marc Becker method", by François Reumont for the l’AFC

Les entretiens au Festival de Cannes 2023

Wacky and offbeat as per usual, Michel Gondry talks about himself in his latest film : a film director, in conflict with his producers, runs off to the Cévennes with the dailies to finish the film. Pierre Niney stars as Marc Becker, Gondry’s clone, alternately irritable and great, trying to finish his film at his old aunt Suzette’s (Francoise Lebrun) home, accompanied by his faithful editor Charlotte (Blanche Gardin) and his scapegoat assistant Sylvia (Frankie Wallach). Laurent Brunet, AFC (French society of Cinematographers) – now a part of the "Gondry family" since working on Microbes and Gasoil – was the cinematographer on this film... (FR)

Renaud Chassaing, AFC, et le réalisateur Frédéric Tellier reviennent sur leurs choix pour le tournage de "L’Abbé Pierre, une vie de combats”,
Prêtre, soldat, député & chiffonnier, par François Reumont

Les entretiens au Festival de Cannes 2023

Après Sauver ou périr et Goliath, deux films inspirés d’histoires vraies, le réalisateur Frédéric Tellier et le directeur de la photographie Renaud Chassaing, AFC, se sont attaqués à un biopic sur un homme au destin exceptionnel, longtemps resté la personnalité préférée des Français. L’Abbé Pierre, une vie de combats raconte donc sur un peu plus de deux heures la vie de Henri Groues, depuis sa formation chez les moines Capucins dans la Drôme (1937) jusqu’à sa disparition en 2007 à l’âge de 94 ans. 70 ans d’une vie hors du commun, incarné à l’écran par un Benjamin Lavernhe dont la voix et l’interprétation sont stupéfiantes. Retour sur le tournage de ce portrait risqué avec Renaud Chassaing. (FR)

Laurent Brunet, AFC, évoque la façon artisanale de tourner "Le Livre des solutions" au côté de Michel Gondry
"La méthode Marc Becker", par François Reumont pour l’AFC

Les entretiens au Festival de Cannes 2023

Loufoque et décalé comme à son habitude, Michel Gondry vient cette fois-ci nous parler de lui en mettant en scène l’histoire d’un réalisateur star en conflit avec ses producteurs qui décide de s’enfuir avec ses rushes pour achever son film caché au fond des Cévennes. Pierre Niney y incarne Marc Becker, le clone de Gondry, tour à tour irascible et génial qui tente d’achever son film chez sa vieille tante Suzette (Francoise Lebrun) accompagnée de sa fidèle monteuse Charlotte (Blanche Gardin) et de son assistante soufre douleur Sylvia (Frankie Wallach). A l’image, c’est Laurent Brunet, AFC – désormais intégré à la famille Gondry depuis Microbes et Gasoil – qui tient la caméra... (FR)

Simon Beaufils revient sur les choix d’image et de mise en scène pour "Anatomie d’une chute", de Justine Triet
"Soleil, neige et cour d’assise", par François Reumont

Les entretiens au Festival de Cannes 2023

Le nouveau film de Justine Triet (Sybil, Victoria) est une sorte de mille-feuille auquel on retirerait couche après couche les différentes épaisseurs. Partant d’un drame familial au sein d’un couple franco-allemand et de leur fils unique malvoyant, le film développe alors une galerie de personnages dans le contexte d’une procédure pénale très médiatisée. Simon Beaufils signe les images de cette sorte de huis clos mental, dont les 2h30 se partagent entre un chalet de haute montagne et un tribunal. Anatomie d’une chute a obtenu la 76e Palme d’Or. (FR)

Articles (30)

Décès de Michel Thévenet, fondateur du laboratoire Telcipro

In memoriam

Nous avons appris par la Ficam la nouvelle du décès de Michel Thévenet, survenu le 12 avril 2021, des suites d’un cancer, à l’âge de 87 ans. Figure emblématique des laboratoires cinématographiques français durant le dernier quart de siècle, il a contribué, à la direction du laboratoire Telcipro, fondé en 1978, à promouvoir avec succès l’emploi du format Super 16 pour les tournages des fictions TV et son gonflage en 35 mm pour les films à faible budget destinés aux écrans de cinéma. Jean-Pierre Neyrac, qui a dirigé, entre autres activités, le laboratoire Centrimage, retrace ici, par amitié pour l’AFC, des éléments de sa carrière et l’historique de Telcipro.

Ce que Bertrand Tavernier aimait, c’est le cinéma !
Par Alain Choquart, directeur de la photographie et réalisateur

Bertrand Tavernier

Après avoir travaillé avec Bruno de Keyser, sur La Vie et rien d’autre , et Pierre-William Glenn, AFC, sur Coup de torchon et Mississippi Blues, films réalisés par Bertrand Tavernier, Alain Choquart a dirigé la photographie de huit de ses films : La Guerre sans nom, L.627, L’Appât, Capitaine Conan, Ça commence aujourd’hui, Laissez-passer, Histoires de vies brisées - Les "double peine" de Lyon et Holy Lola. Il témoigne ici de la longue aventure, « humaine, cinéphile et professionnelle », qu’il lui a été donnée de vivre auprès de lui.

En mémoire de Rémy Julienne
Par Pierre-William Glenn, AFC, et Gilles Porte, AFC

Rémy Julienne

Connu de la planète cinématographique pour ses mille et une cascades réglées au millimètre et à la seconde près, tels que sur La Grande vadrouille, L’or se barre ou six James Bond, entre autres films spectaculaires, Rémy Julienne, formé par le cascadeur Gil Delamare dont il poursuivra le travail, s’est éteint, jeudi 21 janvier 2021, à l’âge de 90 ans. Pierre-William Glenn, AFC, et Gilles Porte, AFC, témoignent, dans les deux textes suivants, en souvenir de ce qu’ils gardent en mémoire de cet artiste à la personnalité peu commune.

Pierre Lhomme, un ardent défenseur de l’image
Par Eric Guichard, AFC

Pierre Lhomme

Lorsqu’on lit tous les hommages des réalisateurs sur le travail de Pierre, on mesure combien il fut un collaborateur précieux. Mais au-delà de la fabrication des images au tournage, Pierre fut aussi un ardent défenseur de la préservation et de la restauration des films auxquels il avait participé, préservant le sens et le récit que le metteur en scène avait défendu lors du projet initial tout en étant attentif à ce que pouvait apporter les nouvelles technologies d’étalonnage.

A Look on Montfermeil
Interview with cinematographer Julien Poupard, AFC, about his work on Ladj Ly’s film "Les Misérables"

Les entretiens au Festival de Cannes

Two films shot by Julien Poupard, AFC, have already won the Caméra d’or at Cannes : Party Girl, by Marie Amachoukeli, Claire Burger and Samuel Theis in 2014, and Divines, by Houda Benyamina, in 2016. Last year, he was with Pierre Salvadori’s film En liberté ! at the Directors’ Fortnight. This year, he’s back with a first film, Ladj Ly’s Les Misérables, in Official Competition at the 72nd Cannes Film Festival. (BB)

L’agenda du jour
Vendredi 24 et samedi 25 mai

L’agenda de Cannes

  • Vendredi 24 mai
  • Les films AFC du jour
  • Sélection officielle, Cannes Classics
  • Les Silences de Johnny, de Pierre-William Glenn, AFC, projection Salle Buñuel à 14h, en présence du réalisateur
  • Lire l’article à propos du film
  • Sélection officielle, Cinéma de la Plage
  • Les Patriotes, d’Eric Rochant, photographié par Pierre Novion, AFC, projection à 21h30
  • Lire l’article de Pierre Novion.
  • Les films non AFC du jour
  • Sélection officielle, Compétition
  • Sibyl, de Justine Triet, photographié par Simon Beaufils, projection au Grand Théâtre Lumière à 19h30
  • Lire dès samedi un entretien avec Simon Beaufils
  • Samedi 25 mai
  • Reprise des films de la Compétition, salles Bazin, Buñuel, Debussy et Soixantième, de 8h30 à 22h.
  • Cérémonie du palmarès du 72e Festival de Cannes au Grand Théâtre Lumière à 19h15, suivie de la projection du film de clôture, Hors normes, d’Eric Toledano et Olivier Nakache, photographié par Antoine Sanier, à 20h.

A propos des "Silences de Johnny", documentaire de Pierre-William Glenn, AFC

Les entretiens au Festival de Cannes

Lorsqu’on interroge quelqu’un sur la carrière de Johnny Hallyday au cinéma, rares sont les personnes, même les fans, qui peuvent lister plus de cinq films sur les trente-quatre qu’il a interprétés. Et pourtant sa carrière d’acteur a commencé avant celle de chanteur, en 1954, dans Les Diaboliques, de Henry-Georges Clouzot. Il est même probable que Johnny ait découvert Elvis Presley et le Rock’n’roll en voyant Loving You (Amour frénétique) au cinéma à l’âge de 14 ans.

Regard sur Montfermeil
Entretien avec le directeur de la photographie Julien Poupard, AFC, à propos de son travail sur "Les Misérables", de Ladj Ly

Les entretiens au Festival de Cannes

Deux films photographiés par Julien Poupard, AFC, ont déjà remporté la Caméra d’or à Cannes : Party Girl, de Marie Amachoukeli, Claire Burger et Samuel Theis, en 2014, et Divines, de Houda Benyamina, en 2016. L’année dernière, il accompagnait En liberté !, de Pierre Salvadori, à la Quinzaine des réalisateurs. Cette année, il revient avec un premier film, Les Misérables, de Ladj Ly, en Compétition officielle de ce 72e Festival de Cannes. (BB)

Jean-Pierre Beauviala a accompagné ma vie de chef opérateur
Par Eric Gautier, AFC

Jean-Pierre Beauviala

Jean-Pierre a accompagné toute ma vie de chef opérateur, depuis la fin des années 1970 et ses entretiens passionnants aux Cahiers du Cinéma, puis avec sa caméra S16 mm pour les courts métrages et les documentaires, puis l’Aaton 35 mm, que j’ai utilisée sur presque tous mes films avant l’arrivée de la magnifique Penelope, qui reste ma caméra de prédilection.

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