Actualités AFC

Rencontres ENSLL-AFC
par Patrick Duroux et Gérard Stérin

Actualités AFC

Les élèves de la section Cinéma de l’Ecole nationale supérieure Louis-Lumière désirent rencontrer des directeurs de la photographie et aborder avec eux – à partir d’exemples concrets liés à des travaux récents – les différentes phases techniques et artistiques de conception et de fabrication d’une image (image de film, de pub, de clip, images composites ou virtuelles).

Editorial de la Lettre de juillet-août 2007
par Rémy Chevrin

Editoriaux de la Lettre

La période estivale a été entamée et déjà de nombreux tournages sont en cours. L’AFC a connu une activité forte ces dernières semaines et la vitalité de nos membres associés plus que soutenue : en effet, à l’approche des vacances pour certains et des tournages pour d’autres, TSF nous a fait découvrir sa toute nouvelle salle de projection 35 numérique lors d’une soirée où fut projeté le film L’ennemi intime photographié par notre confrère italien Giovanni Fiore Coltellacci, l’occasion d’un échange passionnant entre les opérateurs AFC et M. Coltellacci. De même, Panavision nous propose une journée Porte Ouverte le 6 juillet afin de découvrir leurs dernières acquisitions mais aussi de renforcer les liens qui nous unissent.

Editorial de la Lettre de juin 2007
par Rémy Chevrin

Editoriaux de la Lettre

Avec le soutien de la CST présidée par Pierre-William Glenn, de Laurent Hébert son délégué général, et du CNC, l’AFC a connu cette année au Festival de Cannes un dynamisme nouveau à travers les différents évènements et activités qui ont eu cours pendant la quinzaine. Cette présence n’aurait pu avoir lieu sans le soutien actif de nos membres associés.
C’est pourquoi je tiens avant tout à remercier chaleureusement tous ceux et toutes celles qui ont permis que nous existions encore plus que les années précédentes, Aaton, Agfa, Cininter, Fujifilm, Kodak, K5600, Maluna Productions, Panavision Alga Techno et Quinta Industries, ainsi qu’Apple Solution Expert Vidéo pour son aide exceptionnelle.

"Lumières, les Cahiers de l’AFC"
Les n°1 et n°2 de "Lumières" sont en vente ici

Revue "Lumières"

Découvrez et commandez les deux premiers numéros de la revue Lumières, les Cahiers de l’AFC. Chaque revue est accompagnée d’un CD présentant des extraits de films, des photogrammes et des photos.

Prix par numéro : 15 euros (CD inclus), hors frais d’envoi

Consultez le tableau des frais d’envoi ci-dessous
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  • Vous pouvez aussi venir retirer votre commande à l’AFC, 8 rue Francœur - 75018 Paris
    - Lundi, mardi, jeudi et vendredi entre 10 et 18 heures.

Céline Bozon parle de son travail sur "La France" et "Un homme perdu"

Entretiens avec des directeurs de la photographie

En sortant de La fémis en 1999, Celine Bozon débute avec Jean-Paul Civeyrac sur un film fait de manière très libre, avec très peu d’argent, une équipe toute petite et en vidéo. Cela a donné Fantômes, un long métrage qui est sorti en salle. Ensuite il y a eu Le Doux amour des hommes et Toutes ces belles promesses.
Parallèlement, elle tourne un moyen métrage Mods avec son frère Serge Bozon, puis deux films de Tony Gatlif (Exils et Transylvania). En 2007, la Quinzaine des réalisateurs a sélectionné deux films dont elle a fait l’image : La France, le second long métrage de son frère, et Un homme perdu de la cinéaste libanaise Danielle Arbid.

Josée Deshaies parle de son travail sur "Avant que j’oublie" et "La Question humaine"

Entretiens avec des directeurs de la photographie

Josée Deshaies est québécoise. Après des études d’histoire de l’art en Italie, elle attaque une formation classique à Montréal en tant que deuxième assistante opératrice, puis passe à la direction de la photo sur des documentaires et courts métrages.
C’est sa rencontre avec Bertrand Bonello qui lui permet de passer au long métrage sur Quelque chose d’organique en 1998.
Depuis, elle a signé l’image de films comme Royal bonbon de Charles Najman, Cache cache d’ Yves Caumon, Les Invisibles de Thierry Jousse ou Tiresia et Le Pornographe de Bertrand Bonello.
Cette année, Josée est à l’affiche de deux films présentés à la Quinzaine des réalisateurs, Avant que j’oublie de Jacques Nolot et La Question humaine de Nicolas Klotz.

Entretien avec le directeur de la photo brésilien Mauro Pinheiro Jr

Entretiens avec des directeurs de la photographie

A l’occasion du soixantième anniversaire du Festival de Cannes, l’AFC a reçu quelques opérateurs étrangers au pavillon que nous partagions avec la CST, présidée par Pierre-William Glenn.
Dans un endroit chaleureusement organisé et animé par Laurent Hébert, délégué général de la CST, nous avons eu l’occasion de rencontrer Mauro Pinheiro Jr, un jeune directeur de la photographie brésilien. Ce n’est pas la première fois qu’il se trouve au festival : il y a de cela deux ans, un des films qu’il avait photographiés était en sélection parallèle Cinema, aspirinas e urubus (Cinéma, aspirines et vautours), premier film de Marcelo Gomes.
Cette année, il est de nouveau sur la Croisette.

A propos du travail de Gérard de Battista sur "Roman de gare" de Claude Lelouch
Sélection officielle, hors compétition

Entretiens avec des directeurs de la photographie

Roman de gare est le quarantième film de Claude Lelouch en cinquante ans de carrière. Il s’inscrit dans le paysage cannois de l’année 2007 pour un hommage rendu à ce cinéaste français connu dans le monde entier. Et aussi connu par de nombreuses générations – au moins deux ! – puisque Cannes fête, lors de cet hommage, ses cinquante ans de cinéma !
C’est une deuxième collaboration pour Gérard de Battista qui avait déjà tourné Les Parisiens en 2004. Claude Lelouch a fait appel à Gérard surtout pour son expérience des tournages en HD et parce qu’il avait remarqué son excellent travail sur La Petite Lili de Claude Miller.

Antoine Héberlé parle de "Meduzot" d’Etgar Keret et Shira Geffen
Sélectionné à la Semaine Internationale de la Critique

Entretiens avec des directeurs de la photographie

Il y a deux ans, Amir Harel, le coproducteur israélien de Paradise Now, que j’étais alors en train d’étalonner, m’a donné rendez-vous à Cannes pour me présenter le projet de Meduzot (Les Méduses).
Il recherchait un opérateur étranger pour filmer la ville de Tel-Aviv avec un regard « différent », me dit-il.
Le scénario, son ton et sa fantaisie m’ont tout de suite séduit.

François Catonné parle de son travail sur "Boxes" de Jane Birkin
Sélection officielle, hors compétition

Entretiens avec des directeurs de la photographie

Une histoire de boîtes. Les boîtes dans lesquelles nous rangeons nos souvenirs, les boîtes pour les transporter, les boîtes qui restent au milieu du salon attendant d’être, enfin, déballées. Toutes ces boîtes à souvenirs sont mises en scène par Jane Birkin. Une foule d’acteurs pour l’accompagner dans ce voyage, dans le passé, dans le présent. Un lieu unique en Bretagne, une maison de famille, Jane interprétant son propre rôle, dans sa propre maison.
François Catonné l’a également accompagnée dans ce voyage si personnel, si atemporel.

Laurent Brunet parle de son travail sur "Tehilim" de Raphaël Nadjari
Sélection officielle, en compétion

Entretiens avec des directeurs de la photographie

Raphaël Nadjari et Laurent Brunet ont travaillé pour la première fois ensemble en 1998. Pour Raphaël, un premier film en tant que réalisateur, pour Laurent un premier film en tant que directeur photo. The Shade sera sélectionné au festival de Cannes, à Un Certain Regard. Nous retrouvons cette année ce tandem, qui, ne s’étant plus quitté depuis, se retrouve sur la Croisette pour ce cinquième film Tehilim (Les Psaumes). Entièrement tourné à Jérusalem, en hébreu, Tehilim raconte la disparition mystérieuse d’un père, qui laisse sa famille face à elle-même.

Josaie Deshaies parle de son travail sur "Avant que j’oublie" et "La Question humaine"

Entretiens avec des directeurs de la photographie

Josée Deshaies est québécoise. Après des études d’histoire de l’art en Italie, elle attaque une formation classique à Montréal en tant que deuxième assistante opératrice, puis passe à la direction de la photo sur des documentaires et courts métrages.
C’est sa rencontre avec Bertrand Bonello qui lui permet de passer au long métrage sur Quelque chose d’organique en 1998.
Depuis, elle a signé l’image de films comme Royal bonbon de Charles Najman, Cache cache d’ Yves Caumon, Les Invisibles de Thierry Jousse ou Tiresia et Le Pornographe de Bertrand Bonello.
Cette année, Josée est à l’affiche de deux films présentés à la Quinzaine des réalisateurs, Avant que j’oublie de Jacques Nolot et La Question humaine de Nicolas Klotz.

Caroline Champetier parle de son travail sur "L’Avocat de la terreur" de Barbet Schroeder
Sélection officielle, Un Certain Regard

Entretiens avec des directeurs de la photographie

Le tournage de L’Avocat de la terreur s’est déroulé sur plusieurs mois de façon discontinue.
L’enquête n’a jamais cessé, les informations arrivaient, donnant un suspens formidable à chaque rencontre et provoquant d’autres rencontres.
Il y a eu deux entretiens en longueur avec Jacques Vergès distants de quelques mois, mais le moment fort du tournage a été le voyage à Alger. Très vite, il a été clair que tout partait de la guerre d’Algérie, des premiers attentats du FLN répondant à ceux de l’OAS, des condamnés à mort algériens, du collectif d’avocats mis en place par Jacques Vergès et d’autres avocats français et algériens, de la conceptualisation par Vergès de " la défense de rupture ".