Gérald Fiévet et l’équipe de Fujifilm vous donnent rendez-vous aux 12es Rencontres Cinématographiques de Beaune, organisées par l’ARP, Société Civile des Auteurs-Réalisateurs-Producteurs, qui se dérouleront cette année du 24 au 27 octobre.
La prochaine séance de Fuji Tous Courts aura lieu le mardi 15 octobre à 18 h 15, au Cinéma des Cinéastes.
Au programme :
Alice ou son ombre de Laurent Boulanger, photographié par Nicolas Duchêne, produit par Noodles Production Merguez, Panini, Kebab, Jambon beurre de Stéphanie Aubriot et Nicolas Acker, photographié par Yves Kohen, produit par Haïdouk ! Films Negrita Maud d’Olivier Jean, photographié par Thibaud Danton, produit par Madré Films A l’abri des regards indiscrets d’Hugo Gélin et Ruben Alves, photographié par Myriam Vinocour, (…)
Kodak parraine cette 13e édition. Comme chaque année, Kodak soutient le Premier prix du Jury et parraine le déjeuner en compagnie des réalisateurs le samedi 12 octobre à midi. Pour ceux ou celles d’entre vous qui seront de passage et qui voudraient se joindre au déjeuner, n’hésitez pas à contacter Fabien Fournillon au 01 40 01 31 85.
Après une pause estivale, retrouvez nos projections mensuelles Fuji Tous Courts au Cinéma des Cinéastes, 7, avenue de Clichy, Paris 17e à 18 h 15. Vous pouvez d’ores et déjà noter dans vos agendas les dates des prochaines projections:Mardi 10 septembre, mardi 15 octobre, mardi 26 novembre et mardi 10 décembre.
Les matinales Kodak sont des rencontres professionnelles qui permettent d’aborder des sujets transversaux intéressant à la fois les créateurs d’images (directeurs de la photographie, réalisateurs, assistants...) et les responsables de l’économie des tournages (producteurs, directeurs de productions...).
Kodak parraine ce rendez-vous désormais bien connu de toutes et tous en soutenant le " Prix d’Aide à la Création ". Toute notre équipe accueillera les professionnels du festival à son traditionnel open bar les 4 et 5 juillet à l’issue des projections à partir de 22h au café Montecristo.
Pour ceux ou celles d’entre vous qui seront de passage, n’hésitez pas à contacter Nathalie Cikalovski ou Fabien Fournillon au 06 61 90 58 67.
Le 3e Festival de films courts aura lieu à Paris du 12 au 18 juin. Au programme plusieurs compétitions : sélection officielle, courts de récré, courts d’école, documentaires, courts 1er, Panorama. Projections au Cinéma des Cinéastes, à La femis et en plein air dans certains squares du XVIIIe. Renseignements au 01 42 52 67 29
Venu présenter "Demonlover" d’Olivier Assayas j’ai eu le plaisir d’être pris par la main et accompagné par Claire grâce à qui toutes les démarches sont devenues d’une simplicité enfantine.
« Lors de mon séjour à Cannes à l’occasion du dernier Festival, j’ai pu me rendre compte sur place à quel point la présence du bureau AFC est importante, cela au même titre que les nombreuses autres organisations professionnelles qui y sont représentées (CST, SPI, SRF, ARP...). Le bureau est, depuis cette année, à l’extérieur, au grand air, proche du Palais. Nous en partageons maintenant l’espace avec la Commission du Film qui nous accueille sous leur pavillon blanc. Cette cohabitation privilégiée à proximité de la plage ensoleillée... (…)
La Comédie Musicale sera mise à l’honneur le 28 juin prochain à l’occasion de la prochaine séance des Vendredis du Court, à 20h30 au Cinéma des Cinéastes. Au programme...
Sélection officielle : "Kedma" d’Amos Gitaï, photographié par Yorgos Arvanitis "Le Principe de l’incertitude" de Manoel de Oliveira photographié par Renato Berta "Marie-Jo et ses 2 amours" de Robert Guédiguian photographié par Renato Berta "L’Adversaire" de Nicole Garcia, photographié par Jean-Marc Fabre "Demonlover" d’Olivier Assayas, photographié par Denis Lenoir
Hors compétition (clôture) "And Now... Ladies and Gentlemen" de Claude Lelouch, photographié par Pierre-William Glenn
Séance spéciale "La Dernière lettre" de Frederik (…)
« Robert m’avait proposé un de ses premiers films, je n’étais pas libre. On dit que si Robert sort de Marseille, il meurt, comme un poisson hors de son bocal, même si, pour ce film, on est allé jusqu’au Frioul ! Son cinéma est apparemment simple, proche d’un certain naturalisme, « je veux que mon père comprenne le film », dit-il. En fait, il existe une lecture à plusieurs niveaux, servie par une mise en scène simple et efficace, avec un bon travail de comédiens. Marie-Jo a deux amours. Nous nous sommes beaucoup interrogés sur la façon de (…)
« Faux film de genre, Demonlover fait se télescoper deux mondes, celui de la haute-finance internationale et celui de la pornographie sur Internet. Les personnages y portent des accessoires de marque, prennent l’avion en première classe, trahissent et tuent sans scrupule. Cela finit évidemment très mal. J’y ai vu dès la lecture du scénario la plus radicale dénonciation de notre société capitaliste contemporaine en tant qu’elle réifie avec leur accord plus ou moins conscient ses servants (et servantes) mêmes. Terrifiant car c’est de nous (…)