Palmeraie et désert, le site Internet des cinéastes Claudine Nougaret et Raymond Depardon, présente leurs travaux, films de long et court métrage, expositions et ouvrages.
Le blog "Siritz" analyse les secteurs du cinéma et de l’audiovisuel d’un point de vue économique et financier ; sa rubrique Le Carrefour s’entretient avec des professionnels qui parlent de leur métier et des principaux enjeux du secteur. Dans la publication du 8 septembre dernier, Angelo Cosimano, président de la CST, revient sur la reprise des tournages et la situation des salles de cinéma, relevant, entre autres enjeux, l’importance de la conservation des savoir-faire dans chacun de nos métiers. Extrait...
Dans ces trois nouvelles interviews de la séance de projection virtuelle "The Martini" que propose Arri Rental, Jody Lee Lipes, Nikolaus ’Nik’ Summerer et Ed Lachman, ASC, vous parlent de leur carrière et de leurs projets.
Initialement prévue au début du mois d’avril 2020 mais retardée pour cause de pandémie, la parution du livre Les lumières de Lhomme, de Luc Béraud, est de nouveau fixée au 24 septembre prochain. Regard et commentaires d’un réalisateur qui retrace le parcours du directeur de la photographie Pierre Lhomme, en y apportant un éclairage particulier sur ce métier à la fois technique et créatif. Conversations particulières, témoignages, publications, consultations à la bibliothèque de la Cinémathèque française et d’archives personnelles l’ont aidé à documenter ce pertinent travail.
Dans son numéro 99 de mai 2020, le magazine d’Outre-Manche British Cinematographer publiait deux articles mettant en lumière le travail photographique sur support pellicule de deux directeurs de la photographie membres de l’AFC. Eric Gautier, pour deux épisodes de la série "The Eddy", de Damien Chazelle, et Hélène Louvart, pour Never Rarely Sometimes Always, d’Eliza Hittman, ont chacun tourné en Kodak 16 mm. En voici quelques extraits.
Du 10 juillet au 1er novembre 2020, l’Hôtel de Caumont, à Aix-en-Provence (Bouches-du-Rhône), met à l’honneur Joaquín Sorolla y Batisda (1863-1923), l’un des plus grands noms de la peinture espagnole du XXe siècle. On lui doit une des représentations les plus marquantes et éclatantes d’une Espagne lumineuse et méditerranéenne, optimiste et moderne.
Durant la période de confinement, Gilles Porte, AFC, a participé à deux conférences, avec des étudiants de l’Ecole de la Cité et de l’ESEC, conférences aujourd’hui en ligne. Il répond aux questions concernant son parcours mais aussi son travail avec Nicolas Champeaux sur Le Procès contre Mandela et les autres.
Dans sa séance de projection virtuelle "The Martini", Arri Rental propose des entretiens avec des cinéastes où il est question en toute franchise de créativité, d’inspiration et de passion pour le 7e art. Dans trois d’entre eux, Reed Morano, ASC, Rachel Morrison, ASC, et Shawn Peters parlent de leur carrière et de leurs projets.
Avec l’apparition de l’éclairage artificiel, le 19e siècle voit le paysage nocturne évoluer de manière radicale, la nuit s’illuminant progressivement en se parant d’ambiances variées : jeux d’ombres et de lumières, clair-obscur, contre-jour, premières publicités éclairées au néon… Les arts - peinture, gravure, photographie - ayant été fortement marqués par ces métamorphoses nocturnes, le MuMa du Havre, avec l’exposition Nuits électriques, propose d’explorer, du 3 juillet au 1er novembre 2020, cette question de la perception de l’éclairage artificiel urbain par les artistes de la seconde moitié du 19e siècle jusqu’à la veille de la Première Guerre mondiale.
Le soleil est notre principale source de lumière, aussi bien dans notre vie quotidienne que lorsque qu’il sert de base colorimétrique aux éclairages de nos tournages en extérieur ou intérieur jour. L’astrophysicien Roland Lehoucq met en scène, dans le livre Pourquoi le soleil brille ?, l’épopée de la connaissance de cet astre qui commence au VIe siècle avant notre ère, avec les Grecs anciens, et s’achève aux dernières années du XXe siècle.
Dans le cadre du magazine "Tous les cinémas du monde" sur RFI, Elisabeth Lequeret consacrait l’émission du 18 juillet dernier au réalisateur Med Hondo, revenant sur sa vie et son œuvre, avec les témoignages de François Catonné, AFC, et de Catherine Ruelle, spécialiste du cinéma africain et amie du cinéaste.
Durant la période confinement, en avril dernier, la CinéFabrique avait organisé des conversations "confinées" entre étudiants et des directrices et directeur de la photographie de l’AFC. Voici les liens vers trois d’entre elles.
Lors de la 32e cérémonie des Molières, enregistrée au Théâtre du Châtelet et retransmise le 23 juin, le Molière 2020 de la Création visuelle a été décerné à La Mouche, d’après George Langelaan, mise en scène Valérie Lesort et Christian Hecq. C’est la septième année que le Molière de la Création visuelle est attribué à un spectacle auquel sont associés les créateurs de la scénographie, des costumes et de la lumière. Pour La Mouche, ce sont respectivement Audrey Vuong, Moïra Douguet et Pascal Laajili, ainsi qu’Antoine Roegiers et Eric Perroys, pour la vidéo, Carole Allemant et Valérie Lesort, pour les effets spéciaux.
Entre le 20 mars et le 11 juin 2020, l’INSAS, en partenariat avec la SBC, a organisé huit "Troisième mi-temps", ou conférences confinées, entre directrices et directeurs de la photographie et étudiantes et étudiants de la section Image de l’INSAS, échanges modérés par Yves Cape, AFC, SBC. Quatre des huit intervenants sont aussi membres de l’AFC.
En 1933, Alexandre Alexeïeff et Claire Parker inventent, pour réaliser leur film Une nuit sur le mont Chauve, une technique d’animation qui fascine le public depuis près de 90 ans : l’écran d’épingles. Le principe de l’écran d’épingles est une trame de pointes traversant une surface blanche, qui, éclairées obliquement, donnent naissance à autant d’ombres portées plus ou moins longues selon la saillie des épingles sur la surface blanche.
Yvan Lucas vit et travaille à Los Angeles. Il a étalonné certains des plus grands longs métrages de ces trente dernières années, a collaboré avec les plus grands réalisateurs - Jean-Pierre Jeunet, Luc Besson, Robert Redford, Steven Spielberg, Martin Scorsese, Terrence Malick, Quentin Tarantino, Oliver Stone, Roman Polanski... -, et des directeurs de la photographie tels que Darius Khondji, AFC, ASC, Robert Richardson, ASC, Rodrigo Prieto, ASC, AMC, Janusz Kaminski, ASC, Bruno Delbonnel, AFC, ASC, Emmanuel Lubezki…[1] Mais Yvan Lucas est français, et a commencé chez Eclair, dans les années 1980. FilmLight publie sur son site Internet, en anglais, un entretien dont nous vous proposons une traduction partielle.
Durant la durée du confinement, l’hebdomadaire professionnel Le Film français et la société spécialisée dans l’analyse web Comscore ont organisé chaque semaine une table ronde, l’objectif étant de maintenir le lien entre les professionnels mais aussi de réfléchir à l’évolution du secteur post-Covid-19, à l’impact de cette crise, aux leçons que l’on peut en tirer et à la préparation de la sortie de crise. Le 30 avril 2020, il était question de la reprise possible des tournages sur les plateaux : la cheffe maquilleuse Odile Fourquin et le directeur de la photographie Eric Guichard, AFC, participaient à cette rencontre virtuelle.
En 1967, Rodolphe-Maurice Arlaud, scénariste d’origine suisse, s’entretenait brièvement avec Henri Decae, pour la RTS (Radio Télévision Suisse). Henri Decae, qui venait d’achever le tournage du Samouraï, de Jean-Pierre Melville, était alors une des deux figures emblématiques des opérateurs de la Nouvelle Vague, avec Raoul Coutard.