Libération, 13 octobre 2004
Jusqu’ici, on croyait la restauration des films cantonnée aux seules cinémathèques, qui préservent chaque année sur support " safety " des milliers de mètres de négatifs nitrates, tirant au passage des internégatifs.
A ce travail de préservation et de duplication s’ajoute parfois une restauration. La restauration s’établissait autrefois hors de toute valeur marchande : c’était pour l’histoire, le prestige, le patrimoine. C’était aussi avant l’explosion du marché du DVD.