Lire, voir, entendre

La médaille qui pue
par Olivier Séguret

Revue de presse

Libération, 15 décembre 2004

Un film peut donc relever du droit français, parler français, être fabriqué par des artistes, acteurs et techniciens français, être pétri d’histoire française, tourné en France et inspiré d’un écrivain français, tout en n’étant pas considéré comme " tout à fait " français...

Le rapport Guillot veut réduire la précarité des intermittents
par Clarisse Fabre

Revue de presse

Le Monde, 2 décembre 2004

Un an et demi après le début du conflit des intermittents, déclenché par la signature du protocole du 26 juin 2003, le rapport du président du Bureau d’informations et de prévisions économiques (BIPE), Jean-Paul Guillot, devait dresser un état des lieux des annexes VIII (techniciens) et X (artistes) de l’Unedic, dont le déficit s’élevait à 828 millions d’euros en 2002 selon l’Unedic, et proposer des pistes pour sortir de la crise.

RDDV annonce la publication d’une circulaire par l’UNEDIC

Revue de presse

Le journal des spectacles, 17 décembre 2004

Dans la cadre de l’ouverture, vendredi 17 décembre, du Conseil national des professions du spectacle, Renaud Donnedieu de Vabres a présenté les 4 axes de travail qui a ses yeux devront être prioritaires dans le programme de travail des Conseils prévus en 2005.

Une archéologie du cinéma sonore
de Giusy Pisano

Livres et revues

Du chronographe de Thomas Young à la chronophotographie de Marey, en passant par les recherches acoustiques de l’abbé Rousselot, un champ fragile de convergence s’élabore, nouant des relations expérimentales entre des domaines apparemment éloignés. L’enregistrement du mouvement tant en acoustique qu’en optique ou en physiologie constitue ici le pivot de la synchronisation son/image. Grâce à lui des échanges de plus en plus constants s’effectuèrent entre science, spectacle et industrie. Le cinéma sonore pouvait naître. Giusy Pisano est (…)

" 9 m2 " sur le petit écran, lu dans la presse

Revue de presse

Libération et Télérama, 17 et 22 novembre

La version télévisuelle de 9 m2, réalisé par José Césarini et notre ami Jimmy Glasberg, était programmée sur Arte en cinq épisodes du 22 au 26 novembre.
Elle a fait l’objet de nombreux articles dans la presse, dont nous vous livrons ici quelques extraits.

On n’arrête pas le progrès
par Charlie Van Damme

Billets d’humeur

Décidément on nous gâte : nous voilà confronté à pas moins de quatre prototypes de caméras numériques très haut de gamme qui préfigurent sans doute le cinéma de demain. La Viper, la Genesis, la D 20, l’Origin. J’en oublie peut-être. Des systèmes assez lourds et franchement onéreux dont l’usage ne sera envisageable que sur des productions solidement financées. Parallèlement au développement de ces appareils, les labos font des efforts considérables pour anticiper sur les développements à venir ou tout simplement ne pas rester à la traîne.

Parrain, pourquoi tu tousses ?
par Jean-Noël Ferragut

Billets d’humeur

C’était il y a moins d’un an. Une bonne nouvelle, et par ailleurs excellente initiative, nous parvient de l’AEVLL (Association des anciens élèves de Vaugirard - Louis-Lumière).
Quelques membres actifs de cette association, dont son président Gilles Flourens, instaurent, de conserve avec la direction de l’Ecole, un système de parrainage entre anciens et étudiants de deuxième année, du moins ceux qui, de part et d’autre, en ont manifesté l’envie.

La lumière du Cambodge
par Alain Choquart

Propos et entretiens

Avec l’aimable autorisation du technicien du film, nous reproduisons
ci-dessous " La lumière du Cambodge ", un article paru dans le n° 549 (novembre 2004) dans lequel Alain Choquart s’entretient avec Dominique Maillet sur son travail sur Holy Lola de Bertrand Tavernier.

A propos de la Genesis
par Diane Baratier

Billets d’humeur

L’AFC a organisé, récemment, la présentation d’une nouvelle caméra, la Genesis.
Son nom provient de genèse, la création. Est-ce que ce choix veut dire que la Genesis est une création ? C’est peut-être le point de vue des industriels qui l’ont mise sur le marché, mais je ne pense pas que ce soit celui des opérateurs qui vont devoir l’utiliser.

Merci César,
par Dominique Bouilleret

Billets d’humeur

Quand nous sommes sortis de la salle de cinéma, nous avons gentiment remercié nos hôtes, Annick et Christophe de Fujifilm, qui nous avaient conviés à une séance de 2046, de Wong Kar-wai, à l’UGC Bercy.
C’est en effet Christophe, comme tenait à le préciser Annick, qui a lancé l’idée de " spammer " ses contacts avec cette invitation autour d’un film tourné en Fuji et d’un déjeuner pour prolonger cet instant.

Parenthèse
en guise de rectificatif...

Billets d’humeur

Notre consœur et amie Diane Baratier, que Jean-Jacques Bouhon nous a présentée dans la Lettre de septembre dernier, nous précise que « Nicolas Hayer n’est pas le précurseur d’un travail en lumière réfléchie, mais (qu’) il défendait l’éclairage logique. Pas d’ombres qui viennent de nulle part. »