Leica SL2-S
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Gilles Porte, face-à-face Par Ariane Damain Vergallo pour Ernst Leitz Wetzlar
Portraits de directeurs de la photographie dans l’optique de Leitz
En 1995, Gilles Porte et son frère jumeau ont tous les deux trente ans. Ils fêtent Noël en province, dans la maison familiale. Leur père, un éminent cardiologue, et leur mère, médecin du travail, ainsi que leur sœur, sont présents ce soir-là. Les propos échangés sont si violents, si amers, qu’ils quittent la maison sans se retourner tandis que leur père les regarde froidement s’éloigner. Un adieu définitif pour son frère jumeau.
Jeanne Lapoirie, a yen for fate By Ariane Damain Vergallo for Leitz
Portraits de directeurs de la photographie dans l’optique de Leitz
In 1991, while shooting J’embrasse pas (I Don’t Kiss), director André Téchiné falls in love with Super-8 images taken in some paratroopers’ barracks by the first assistant camera. Techiné has been entrusted with that footage by cinematographer Thierry Arbogast who is unable to finish the film.
Exposition "Paul Wolff et Alfred Tritschler", aventuriers du Leica
Expositions et Musées
Pour la toute première exposition marquant son ouverture, le musée Ernst Leitz, à Wetzlar (Allemagne), présente "Dr. Paul Wolff & Tritschler - Lumière et ombre - Photographies de 1920 à 1950", première grande rétrospective consacrée à Paul Wolff (1887–1951) et Alfred Tritschler (1905–1970). Ces deux photographes allemands, connus autour des années 1930, sont considérés aujourd’hui par le milieu de la photographie comme les pionniers de l’usage de l’appareil photo Leica.
Jeanne Lapoirie, le goût du hasard Par Ariane Damain Vergallo pour Leitz
Portraits de directeurs de la photographie dans l’optique de Leitz
En 1991, sur son film J’embrasse pas, le réalisateur André Téchiné avait beaucoup aimé les images en Super 8 tournées dans une caserne de parachutistes par la première assistante caméra. C’est le chef opérateur Thierry Arbogast qui, n’ayant pu terminer le film, lui en avait confié la responsabilité.
Pierre Lhomme, from Sidney Bechet to the "Light of God"
Pierre Lhomme
Pierre Lhomme’s career has traversed nearly fifty years of French cinema, displaying the same ease and rigorousness with directors such as Alain Cavalier, Chris Marker, Jean Eustache, James Ivory, Joris Ivens, René Féret, Jean-Pierre Melville, Jean-Paul Rappeneau, Margurite Duras, Patrice Chéreau, Robert Bresson, Bruno Nuytten, and others. These richly-diverse collaborations were all nourished by an attentive and uninterrupted observation of natural lighting in all of its forms : “I train my eye everywhere, in the street, in the cinema. I am very curious about gazes, ambiences, climates. Reality is a prodigious source of inspiration.” (P.L.)
Alexis Kavyrchine, d’autres vies que la sienne Par Ariane Damain-Vergallo pour Leitz Cine Weltzar
Portraits de directeurs de la photographie dans l’optique de Leitz
Alexis Kavyrchine a toujours été très reconnaissant à ses ancêtres russes de lui avoir donné ce nom et ce prénom tout droits sortis d’un livre de Dostoïevsky ou de Tolstoï et aussi cette haute stature, ces cheveux blonds et ces yeux bleus dont, par chance, il a également hérités.
Alexis Kavyrchine, the many lives of… By Ariane Damain-Vergallo for Leitz Cine Weltzar
Portraits de directeurs de la photographie dans l’optique de Leitz
Alexis Kavyrchine has always been grateful to his Russian ancestors for giving him a) those last and first names that seem plucked right out of a Dostoevsky or Tolstoy novel ; and b) that tall stature, blond hair and blue eyes which, by chance, he also inherited.